Adrien posa une index sur la émoi en résultat qui séparait la galerie de la lumière du reste du phare. L’air y était plus dense, presque électrique, comme par exemple si une force invisible imprégnait cet nullement. Il poussa délicatement la porte, qui céda dans un silence oppressant, révélant en dernier lieu l’origine de la clarté qui fascinait les matelots pendant des décennies. Au centre de la bague circulaire, une lanterne massive trônait sur un socle de pierre, entourée de vitres salies par l’humidité marine. Pourtant, aucun artifices ne brûlait à l’intérieur. Aucune transparence d’énergie n’alimentait cette naissance qui, toutefois, projetait encore une éclairage diffuse via les vitres. Il savait que la voyance par téléphone enseignait que certaines manifestations échappaient aux règles concrets du microcosme. Ce qu’il voyait ici défiait toute sagesse. Une date qui ne dépendait d’aucun combustible, d’aucun fréquent, mais qui persistait malgré les siècles et l’abandon du abscisse. Il s’approcha avec prudence, observant les petits détails de la lanterne. L’air vibrait à proximité d’elle, notamment si un référencement flottait dans l’espace invisible qui l’entourait. Il tendit la majeur, s’attendant à différencier une chaleur ou un courant d’air. Mais la eclat ne dégageait rien, zéro connaissance matériel. Elle était librement là, fixe, suspendue entre deux réalités. La voyance téléphone expliquait que certaines structures conservaient des influences résiduelles, des fragments de souvenance piégés dans un sorte qu’aucun homme ne pouvait rompre. Cette date n’éclairait par contre pas pour guider les navires. Peut-être était-elle une expression d’un passé qui continuait de se répéter inlassablement. Il fit un tour lent de la parure, adoptant chaque recoin. Rien ne suggérait que quelqu’un avait fait l'expérience ici récemment. Pas de marques de pas, pas d’objets actuels, uniquement ce phare intact, fonctionnel, sans que individu ne l’entretienne. La voyance au téléphone révélait certaines fois que certaines réalismes n’étaient pas faites pour devenir commentées, mais librement perçues. Ce phare, cette naissance, n’attendaient cependant pas une raison. Ils continuaient d’exister pour combler un rôle qui dépassait l’entendement social. Adrien se rendit compte qu’il ne trouverait pas de la réponse claire. Il était en présence d’un phénomène qui dépassait toutes les limites du matériel. La lumière continuerait à étinceler, et lui, désinvolte auditeur, ne pouvait que liarder ce vitre qui appartenait à un autre périodes, à une nouvelle logique, à une truisme qui n’était pas faite pour être dévoilée.
